L’un après l’autre, les orateurs ont exposé sur un sujet particulier puisant dans le thème principal ” l’éducation des jeunes.” Venus des diverses disciplines de formation, les sept enseignants de l’institut universitaire Morave Willsamall de Mwene Ditu ont, pratiquement, autopsié la junte juvénile congolaise.
Par le premier intervenant, par exemple, a parlé de l’impact des réseaux sociaux et de l’IA sur la jeunesse. Selon l’assistant Patrice Muayi, ces derniers sont un couteau à double tranchant. Tantôt, ils peuvent être un fléau. Tantôt, ils pourraient avoir des avantages pour les jeunes. De son côté, l’assistant Crispin Kena a agité le pan d’actualité dans la sphère de l’homme tout le monde, à savoir : la prostitution en milieu universitaire, défis et perspectives.
Cet exposé tombe pile au moment où la société locale croit que les enseignements supérieurs font émerger des anti valeurs sexuelles chez les jeunes étudiants. Tel 2 et 2 font quatre, l’assistant a démontré le contraire à l’assistance qui a beaucoup apprécié.
Une autre intervention qui a captivé l’attention est celle de l’assistant Jean Pierre Kayembe. Journaliste et enseignant, il a exposé sur l’exclusion économique, le chômage des jeunes et alternatives illicites. Dans un environnement qui a un taux très élevé de chômage, à chacun d’imaginer l’intérêt du sujet. Dans son intervention, il a pu éventrer le boa et proposer des recettes.
De fil en aiguille, l’institut universitaire Morave Willsamall respecte et fait exécuter les instructions du ministère de l’enseignement supérieur et universitaire. Selon le comité de gestion de l’Alma mater, l’IUM marche avec et dans le vade-mecum pour une formation efficace de la jeunesse congolaise.
Cueillis pendant et après les exposés, quelques invités n’ont pas su cacher leur appréciation. À lucommedias.cd, ils ont encouragé l’IUM dont les efforts le hissent en tête de liste des établissements ESU dans la province de Lomami.
Rédaction